Suisse : le pays où la « faute » ne compte plus dans les divorces…

Suisse : le pays où la « faute » ne compte plus dans les divorces…
Suisse : le pays où la « faute » ne compte plus dans les divorces…

Hormis les violences relevant du droit pénal que peuvent être l’abus sexuel ou l’enlèvement d’un enfant, divorcer pour « faute » n’est plus possible en Suisse. Aussi, le mieux est-il désormais de se séparer d’un commun accord. Pour ce faire, un certain nombre de démarches administratives sont nécessaires, certes.

Mais, quelles qu’en soient les éventuelles difficultés, l’option du « consentement mutuel » reste des plus avantageuses pour tout le monde, les deux époux et leurs enfants s’ils en ont. Pourquoi ? Tout d’abord parce que la procédure du divorce à l’amiable est beaucoup plus rapide (quelques semaines) que celle d’un divorce « classique » (plusieurs années). Comme tout s’y déroule sur le principe de l’accord, cette formule « courte » est donc aussi beaucoup moins stressante, y inclus pour les enfants et le coût est moins onéreux.

L’appui possible d’un médiateur

Quel coût pour un divorce suisse à l’amiable ?

Source : www.divorce.ch

Bien sûr, divorcer est généralement émotionnellement difficile. Aussi n’est-il pas forcément facile de s’accorder sur tout : qui va garder la maison ? Comment va-t-on se partager les livres ? Comment s’organiser avec les enfants ? Etc. C’est pourquoi, que ce soit pour un divorce à Genève ou à Vaud, ceux qui divorcent en Suisse peuvent faire appel à un médiateur (https://divorce.ch/tout-sur-le-divorce/les-autres-alternatives/la-mediation). Contrairement au juge dont le rôle est de trancher les litiges après avoir entendu les deux époux, le médiateur doit aider les futurs divorcés à élaborer leur propre solution et à s’engager à la respecter via un contrat écrit. Bref l’idéal pour divorcer rapidement et à frais réduits en Suisse, est de le faire à l’amiable.

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